Le S-acétylglutathion dans l’amélioration des symptômes de la maladie d’Alzheimer
M. Audette nous a contacté en espérant pouvoir partager cette incroyable histoire avec le monde. Nous sommes complètement d’accord et espérons que vous le serez aussi.
Qui était Berthe avant son diagnostic ?
J’ai rencontré ma conjointe, Berthe, par pur hasard dans un endroit où je n’avais jamais mis les pieds ! Voilà déjà 17 ans que nous sommes ensemble ; 17 belles années. Nous sommes aux prises avec la maladie d’Alzheimer depuis 7 ans maintenant. Avant, Berthe avait beaucoup de vitalité, elle était très souriante et active : elle jouait beaucoup au golf et peignait des tableaux à tomber par terre. En quelques années, elle est arrivée à ne plus même pouvroir écrire son nom.
Comment avez-vous remarqué l’arrivée de la maladie chez votre femme ?
C’est un jour que nous faisions un golf que j’ai vraiment réalisé qu’elle avait de la misère à marcher ; son souffle était court ; et elle manquait de force et d’équilibre. Elle avait déjà eu une intervention chirurgicale au niveau cardiaque dans le passé. Mais surtout, j’avais déjà remarqué certains détails spécifiques qui m’inquiétaient dans son comportement, son raisonnement, sa façon de parler, et sa mémoire.
Comment le monde médical conventionnel vous a-t-il accompagné ?
Cela a pris du temps avant que l’on puisse commencer vraiment à suivre Berthe : nous avons d’abord dû changer de médecin afin de trouver une oreille attentive et le diagnostic de la maladie. Nous sommes ensuite allés dans une clinique spécialisée pour d’autres tests, et le stade d’avancement a été déterminé entre 4 et 5 [sur 7, soit un déclin entre modéré et sévère sur l’échelle de Reisberg]. À l’heure actuelle, Berthe prend deux médicaments conventionnels.
Comment la maladie a-t-elle évolué chez Berthe ?
Avec le temps, nous avons connu l’incontinence. De plus en plus, elle n’était plus elle-même, mais heureusement, nous avons fait l’effort de toujours beaucoup dialoguer. Quand il y a de la souffrance, c’est le temps de se rapprocher davantage de la personne qu’on aime. L’échange est la meilleure pilule qui soit ; cela garde le cerveau plus alerte. Mais elle a perdu doucement la capacité de parler, elle n’était plus capable de faire des phrases, elle cherchait ses mots et craignait qu’on se moque d’elle. Et puis est venu le temps de la chaise roulante, car elle perdait sa vitalité. Ce qui m’a aussi marqué est le changement dans son caractère, avec beaucoup plus de violence verbale, voire physique. Il y a eu beaucoup de découragement aussi : elle voulait mourir, mais je lui ai dit « OK, Berthe, tu vas mourir : toi à 108 et puis moi à 100 ans » — car nous avons 8 ans de différence.
Comment en êtes-vous venus à considérer la naturopathie ?
J’ai moi-même souffert du cancer et de problèmes personnels, et j’ai toujours complémenté mes traitements avec une approche naturelle, notamment avec mon chiropraticien, qui est un homme et un clinicien merveilleux. Je voulais tout faire pour aider Berthe, et j’ai donc naturellement cherché tout ce qui était en mesure de l’aider.
Quels nutraceutiques avez-vous utilisés pour aider à réduire la progression de la maladie ?
C’est mon chiropraticien qui m’a dit d’aller chez Panier Santé, un magasin d’aliments naturels, où l’on m’a conseillé de prendre de l’hydne hérisson, un champignon médicinal réputé pour ses bienfaits au cerveau. Quand les symptômes ont empiré, notamment avec l’humeur, on m’y a conseillé une formule d’oligothérapie. Et là, nous sommes partis d’un gorille pour finir avec un mouton, grâce à un simple liquide en dessous de la langue ; c’est fort ! Aussi, Berthe a connu beaucoup de douleurs et, toujours au même magasin, on m’a alors conseillé d’utiliser du magnésium. La conseillère était certaine que cela allait aider, et effectivement, après avoir augmenté la dose quotidienne, elle n’a plus eu mal.
Comment avez-vous découvert les propriétés du S‑acétylglutathion dans le traitement de la maladie d’Alzheimer, et depuis combien de temps Berthe le prend-elle comme supplément ?
C’est la conseillère santé du magasin d’aliments naturels où je vais qui m’a parlé, en octobre de l’année dernière, de ce fabuleux antioxydant. J’en ai pris deux bouteilles immédiatement. Berthe avait déjà perdu, à ce moment, l’usage de son bras et de sa main droite ; ses jambes ne la portaient plus ; elle n’allait pas bien malgré les médicaments et les nutraceutiques. Berthe a donc commencé de prendre en plus le S‑acétylglutathion pour aider son système nerveux. Et nous avons tout de suite vu la différence — cela fut évident et significatif.
Quelles ont été les améliorations, tant physiques que mentales, observées à la suite de la prise de S‑acétylglutathion ?
Après deux semaines, Berthe a commencé à retrouver l’usage de son bras. Un jour, je lui ai dit : « Hey, Berthe, sais-tu ce que tu viens de faire instinctivement ? Tu viens de prendre ta tasse de café. » Berthe m’a répondu : « Mon Dieu, seigneur ! » et je lui ai dit « Tu vois, Berthe, qu’il ne faut jamais désespérer ! » Berthe a retrouvé le sourire, la joie de vivre. Dans notre village, les voisins disent tous à Berthe que ses yeux pétillent à nouveau. Berthe a retrouvé en partie la parole et peut à nouveau avoir une conversation sensée avec le monde. Elle peut à nouveau écrire, et son énergie revient : elle peut prendre une marche seule sans canne au bout de la rue, aller-retour ! La prise de S‑acétylglutathion a permis à Berthe de récupérer, en un an à peine, environ de 40 % de ses moyens.
Berthe a-t-elle vécu des effets secondaires ou des interactions avec ce produit ?
Non, pas du tout, et je dirais même que c’est une molécule très sécuritaire. Ce que je trouve merveilleux avec mon médecin de famille — sensible à la médecine traditionnelle et l’usage des plantes — est qu’elle ne nous a jamais interdit l’usage des suppléments pour l’accompagnement de Berthe ; au contraire, elle a toujours été curieuse et solidaire. Les résultats des derniers tests d’évaluation, à la clinique spécialisée où nous faisons les tests annuels, ne déclinent plus : à l’inverse, ils s’améliorent, alors que typiquement, l’Alzheimer montre une courbe de progression toujours en déclin. L’infirmière responsable n’en revenait pas.
Quel message d’espoir souhaitez-vous porter grâce à ce témoignage ?
J’appelle Berthe mon petit miracle ! Je crois que si la médecine conventionnelle s’enrichissait de la naturopathie, parlait, et échangeait avec elle, cela ouvrirait des champs extraordinaires de traitement. Mieux vaudrait à la médecine conventionnelle de tendre la main plutôt que de tendre le poing ! Il faut ériger des ponts de communication pour que la science et la médecine reconnaissent et utilisent les traitements naturels tels que le S‑acétylglutathion.